La pratique artistique de Pierre Bellot s’est toujours heurtée à une exigence de définition très forte, puisque la peinture contemporaine est aujourd’hui confrontée à ces questions : quels objets représenter ? Et par quels moyens ?
Il conçoit sa peinture comme un mouvement perpétuel entre le choix d’un sujet et la manière de le figurer. Le sujet est souvent l’appât qui donne naissance à une nouvelle séquence de peinture(s).
Cette recherche, instable et ouverte, se modifie à chaque toile à la manière d’une anadiplose : en littérature le dernier mot d’une phrase qui est repris pour commencer la suivante.Les sources qui nourrissent son travail sont virtuelles, des photos prisent par d’autres, qui servent de réceptacles à des visions personnelles. Ces « charges » symboliques ont pour effet de produire une narration qui prend forme lors de l’accrochage.
Né en 1990, il vit et travaille à Chessy (Seine et Marne).
Il est titulaire d’un DNSEP obtenu à Paris en 2015.
Guillaume Ginet explore différents médiums pour produire des images
construites en série, dans lesquelles apparait une volonté d’épuisement du sujet. Ce fonctionnement mène à une remise en question des moyens de production. D’une série à l’autre se créent des ponts, de ce mouvement perpétuel résulte des télescopages entre différentes périodes de l’histoire de l’art.
Né en 1984. Vit et travaille à Molenbeek (Belgique).
Il est titulaire d’un Master 2, édition d’art, livre d’artiste, obtenu à Saint-Etienne en 2013 et d’un DNSEP obtenu à Rouen en 2010.
Les tableaux de Timothée Schelstraete reproduisent en grand format des détails – le plus souvent d’objets industriels aux surfaces détériorées, corrodées – photographiés sous la lumière crue d’un flash : des fragments énigmatiques de grilles, de pièces mécaniques ou de bibelots à peine reconnaissables surgissant, dans des tons rompus sourds, d’arrière-fonds d’un noir charbonneux. Ce travail procède à une défamiliarisation de notre environnement le plus quotidien, traduisant l’inquiétante étrangeté qui rejaillit des choses les plus anodines dès lors qu’on en bouleverse les paramètres habituels de représentation.
Né en 1985, il vit et travaille à Paris.
Il est titulaire d’un DNSEP obtenu à Rouen en 2010.
Les peintures de Guillaume Valenti prennent pour sujet l’espace d’exposition. Il compose ses tableaux en prenant en compte ce qui constitue habituellement le hors champs des images. Les objets ainsi disposés dans l’espace lumineux et géométrique du White Cube, s’activent par leur contexte, leur périphérie.Ces peintures sont élaborées à partir de plusieurs documents photographiques, personnels ou découverts sur internet. Il expérimente ainsi des cadrages et des formats différents. Les vues rapprochées succèdent aux vues plus globales pour donner la sensation d’une déambulation dans un espace mental qui entremêle des problématiques purement picturales à une réflexion sur la nouvelle condition des images.
Né en 1987, il vit et travaille à Paris.
Il est titulaire d’un DNSEP obtenu à Paris en 2015.
Il conçoit sa peinture comme un mouvement perpétuel entre le choix d’un sujet et la manière de le figurer. Le sujet est souvent l’appât qui donne naissance à une nouvelle séquence de peinture(s).
Cette recherche, instable et ouverte, se modifie à chaque toile à la manière d’une anadiplose : en littérature le dernier mot d’une phrase qui est repris pour commencer la suivante.Les sources qui nourrissent son travail sont virtuelles, des photos prisent par d’autres, qui servent de réceptacles à des visions personnelles. Ces « charges » symboliques ont pour effet de produire une narration qui prend forme lors de l’accrochage.
Né en 1990, il vit et travaille à Chessy (Seine et Marne).
Il est titulaire d’un DNSEP obtenu à Paris en 2015.
Guillaume Ginet explore différents médiums pour produire des images
construites en série, dans lesquelles apparait une volonté d’épuisement du sujet. Ce fonctionnement mène à une remise en question des moyens de production. D’une série à l’autre se créent des ponts, de ce mouvement perpétuel résulte des télescopages entre différentes périodes de l’histoire de l’art.
Né en 1984. Vit et travaille à Molenbeek (Belgique).
Il est titulaire d’un Master 2, édition d’art, livre d’artiste, obtenu à Saint-Etienne en 2013 et d’un DNSEP obtenu à Rouen en 2010.
Les tableaux de Timothée Schelstraete reproduisent en grand format des détails – le plus souvent d’objets industriels aux surfaces détériorées, corrodées – photographiés sous la lumière crue d’un flash : des fragments énigmatiques de grilles, de pièces mécaniques ou de bibelots à peine reconnaissables surgissant, dans des tons rompus sourds, d’arrière-fonds d’un noir charbonneux. Ce travail procède à une défamiliarisation de notre environnement le plus quotidien, traduisant l’inquiétante étrangeté qui rejaillit des choses les plus anodines dès lors qu’on en bouleverse les paramètres habituels de représentation.
Né en 1985, il vit et travaille à Paris.
Il est titulaire d’un DNSEP obtenu à Rouen en 2010.
Les peintures de Guillaume Valenti prennent pour sujet l’espace d’exposition. Il compose ses tableaux en prenant en compte ce qui constitue habituellement le hors champs des images. Les objets ainsi disposés dans l’espace lumineux et géométrique du White Cube, s’activent par leur contexte, leur périphérie.Ces peintures sont élaborées à partir de plusieurs documents photographiques, personnels ou découverts sur internet. Il expérimente ainsi des cadrages et des formats différents. Les vues rapprochées succèdent aux vues plus globales pour donner la sensation d’une déambulation dans un espace mental qui entremêle des problématiques purement picturales à une réflexion sur la nouvelle condition des images.
Né en 1987, il vit et travaille à Paris.
Il est titulaire d’un DNSEP obtenu à Paris en 2015.
Lieu : Abbaye Saint-André – Centre d’art contemporain
Place du Bûcher – 19250 Meymac
05 55 95 23 30
Vernissage le samedi 29 octobre à 18h
Exposition du 30 octobre 2016 au 15 janvier 2016
du mardi au dimanche de 14h à 18h
Fermé les 24, 25, 31 décembre et 1er janvier.
entrée payante
Place du Bûcher – 19250 Meymac
05 55 95 23 30
Vernissage le samedi 29 octobre à 18h
Exposition du 30 octobre 2016 au 15 janvier 2016
du mardi au dimanche de 14h à 18h
Fermé les 24, 25, 31 décembre et 1er janvier.
entrée payante