Avec deux titres écrits par Jean Fauque, l'ancien compère des meilleures heures de Bashung, François Staal risque de s'attirer un public plus vaste, et c'est bien mérité que cet auteur de nombreuses musiques de films sorte de l'ombre.
un petit visionnage du clip montrera qu'ici on est en terrain d'excellence, là où la chanson évoque les grands voyages et où les guitares peuvent parler.
Avec déjà quatre albums à son actif, et des concerts dans tout les lieux parisiens (et tous les mois au Zèbre de Belleville), un duo avec CharlElie Couture, un duo avec Jean Fauque, et plus de 40 musiques de film, François STAAL est surtout connu dans le microcosme musical pour ses musiques de films et de téléfilms, genre très "cadré" sʼil en est. Sur scène, François STAAL se libère complètement des règles cinématographiques pour donner libre cours à un expressionnisme qui touche et fait mouche.
Est-ce du rock/blues ? Est-ce de la chanson française ? Cʼest quelque part entre les deux, et, après tout, peu importe, du moment quʼon se sent porté par des mélodies entêtantes, par des textes ciselés qui tournent autour du thème universel des rapports amoureux, du sens de l’existence ou qui abordent avec humour le "système showbiz".
Au petit jeu des analogies, on pourrait cocher dans le désordre Bashung, Lou Reed, Léonard Cohen, Cat Stevens, CharlElie Couture, Louis Bertignac ... références qui donnent une idée de lʼunivers de François STAAL.
En concert le 11 novembre à L’Olympia
un petit visionnage du clip montrera qu'ici on est en terrain d'excellence, là où la chanson évoque les grands voyages et où les guitares peuvent parler.
Avec déjà quatre albums à son actif, et des concerts dans tout les lieux parisiens (et tous les mois au Zèbre de Belleville), un duo avec CharlElie Couture, un duo avec Jean Fauque, et plus de 40 musiques de film, François STAAL est surtout connu dans le microcosme musical pour ses musiques de films et de téléfilms, genre très "cadré" sʼil en est. Sur scène, François STAAL se libère complètement des règles cinématographiques pour donner libre cours à un expressionnisme qui touche et fait mouche.
Est-ce du rock/blues ? Est-ce de la chanson française ? Cʼest quelque part entre les deux, et, après tout, peu importe, du moment quʼon se sent porté par des mélodies entêtantes, par des textes ciselés qui tournent autour du thème universel des rapports amoureux, du sens de l’existence ou qui abordent avec humour le "système showbiz".
Au petit jeu des analogies, on pourrait cocher dans le désordre Bashung, Lou Reed, Léonard Cohen, Cat Stevens, CharlElie Couture, Louis Bertignac ... références qui donnent une idée de lʼunivers de François STAAL.
En concert le 11 novembre à L’Olympia