Quatre ans après avoir lancé son premier disque, Tabac, Moran donne à entendre son côté plus animal sur son deuxième album, Mammifères. «Je me suis aperçu qu’on se prend peut-être pour d’autres, mais qu’en fait on reste des bêtes», explique le chanteur. Cette réflexion teinte les 13 pièces de son album.
Comme pour Tabac, les mots sont restés la matière première de Moran, mais pour ce deuxième opus, le côté musical et les mélodies ont été davantage peaufinés. C’est que lorsque le poète a fait paraître sa première offrande en 2006, il jouait de la guitare depuis seulement un an et demi. Il s’était laissé convaincre par des amis de jouer de cet instrument et de pousser la chansonnette, alors qu’auparavant il écrivait seulement pour les autres. «À la base, je suis un écrivain et même si je n’avais aucun talent, j’ai commencé à chanter et à jouer de la guitare, explique-t-il. Mes textes ne marchaient pas quand d’autres les chantaient!
Comme pour Tabac, les mots sont restés la matière première de Moran, mais pour ce deuxième opus, le côté musical et les mélodies ont été davantage peaufinés. C’est que lorsque le poète a fait paraître sa première offrande en 2006, il jouait de la guitare depuis seulement un an et demi. Il s’était laissé convaincre par des amis de jouer de cet instrument et de pousser la chansonnette, alors qu’auparavant il écrivait seulement pour les autres. «À la base, je suis un écrivain et même si je n’avais aucun talent, j’ai commencé à chanter et à jouer de la guitare, explique-t-il. Mes textes ne marchaient pas quand d’autres les chantaient!