L’artiste Lukas Ionesco et sa compagne Clara Benador sortent leur clip « Time is gone » le vendredi 14/02 prochain, issu de leur premier album, « Magic Stone » qui sortira le 20/03/2020.
Lukas Ionesco est un artiste français : acteur, musicien-compositeur, chanteur et mannequin.
Elevé au sein d’une famille d’artistes (sa mère Eva Ionesco est une réalisatrice, actrice et photographe française, sa grand-mère Irina Ionesco est une artiste photographe roumaine et son père est un musicien et décorateur de cinéma hollandais), il se passionne directement dès son plus jeune âge pour tous ces arts.
À 18 ans, Lukas Ionesco joue dans son premier film en tant qu’acteur où il tient le premier rôle dans « The Smell Of Us » de l’américain Larry Clark.
Il achète ensuite une guitare folk et apprend seul à en jouer en composant ses premiers morceaux. Il monte alors son premier groupe de punk nommé « Crash ». Très vite, il s’oriente vers un style plus calme et personnel, et c’est à ce moment-là que né l’album « Diaperpin ». Il compose alors 12 morceaux qu’il vend « sous le manteau » sous forme de cassettes home-made.
« Diaperpin » lui donne l’envie d’aller plus loin dans la recherche de son identité artistique et musicale, il compose alors de nouveaux titres dans une veine Folk-Grunge-Lo-Fi et part enregistrer à New York son première E.P « Paris Texas » sous son nom, Lukas Ionesco.
Par la suite il fait quelques court-métrages aux côtés de Jean Pierre Léaud et de Marisa Berenson, suivi d’un long-métrage, « Jessica Forever » de Caroline Poggi & Johnatan Vinel, et du film d’Eva Ionesco, sa mère, « Une Jeunesse Dorée », où il interprète le premier rôle au côté d’Isabelle Huppert, Melvil Poupaud et Galatea Bellugi.
Par la suite il fait plusieurs concerts à Paris dans des salles comme Les Bains Douches, Les Trois Baudets, L’Olympique Café, Le Point Éphémère, L’Espace B, Le Serpent À Plume, Le Silencio... en invitant sur scène des nouveaux artistes comme Marcello Giuliani, Stone Jack Jones ou encore Melvil Poupaud.
Naissance de « Magic Stone »
Lukas Ionesco décide alors d’enregistrer cette fois-ci son première album seul et home made chez Simon Liberati, son beau-père, à la campagne où il loge avec sa mère Eva.
Alors qu’Eva et Simon partent en voyage pendant un mois à Los Angeles, Lukas, seul avec sa fiancée Clara Benador (photographe, actrice et mannequin), monte avec elle un mini studio d’enregistrement, là où Lukas a déjà son « petit atelier » de création et de composition.
Loin de la ville, c’est là qu’il enregistre son album, composé dans une atmosphère paisible en lisière de forêt. Il aime cet endroit, c’est aussi là que Simon Liberati et Eva Ionesco écrivent leurs romans et scénarios de films. Ce lieu, grande source d’inspiration, est évoqué à maintes reprises dans les morceaux « Talk To Trees » ou encore « Did My Cat Kill Me ? ».
Les 13 morceaux qui formeront l’album sont enregistrés en une semaine dans un état d’esprit raw, avec des inspirations telles qu’Eliott Smith ou encore l’album Pet Sounds des Beach Boys. Il joue lui- même de tous les instruments sur l’album : guitare, basse, percussions, flute et accordéon.
Clara Benador l’accompagne au chant, joue de la flute et de l’accordéon et l’accompagne sur scène en concert.
Lukas Ionesco a voulu composer son première album « Magic Stone » comme la réalisation d’un film, il a visualisé des images fortes, il a imaginé la composition de sa musique comme une auto-fiction, en parlant de lui-même, de ses peurs, de ses cauchemars, de ce qu’il aime et de ce qui le passionne.
Il a aussi voulu garder un esprit enfantin au travers de l’utilisation de l’accordéon, de la flute ou encore du métallophone.
L’introduction est une prise de sons du crépitement du feu de cheminée accompagné d’une guitare. En effet, « Inside The Magic Stone » introduit l’album de manière calme et triste. Quelques notes d’ironie se sont glissées dans les paroles de plusieurs morceaux, qui nuancent ainsi un album assez sombre, intense, et lancinant.
« Magic Stone », fait écho à une pierre précieuse, magique ; à un talisman qui le protégerait.
L’album est masterisé par Pierre Ströska, son ami et guitariste qui l’accompagne sur scène.
Lukas Ionesco et Clara Benador collaborent aussi sur l’esthétique du groupe : Clara, qui est photographe et qui prépare sa première exposition avant l’été 2020 à Paris, fait la plupart des covers pour « Lukas Ionesco » ainsi que des clips pour le groupe.
Zack Spiger qui avait déjà fait des clips pour le première E.P de Lukas Ionesco collabore encore aujourd’hui à la réalisation de prochains clips pour le premier album de Lukas, « Magic Stone ».