Félix Libris lit Marivaux

« Les romans de Marivaux, supérieurs à ses comédies par l’intérêt, par les situations, par le but moral qu’il s’y propose, ont le mérite de ne pas tourner, comme ses pièces de théâtre, dans le cercle étroit d’un amour déguisé, mais d’offrir des peintures plus variées, plus générales, plus dignes du pinceau d’un philosophe.» En faisant sienne cette formule du mathématicien et philosophe d’Alembert, Félix Libris souhaite faire redécouvrir au public français, en avant-première à la Sorbonne, deuxromans majeurs de la littérature française : La vie de Marianne et Le paysan parvenu de (Pierre Carlet de Chamblain de) Marivaux.

Qui n’a jamais entendu Félix Libris lire ces oeuvres injustement éclipsées ne saurait comprendre toute la musique que contient la littérature du XVIIIème siècle.