Derrière Republica Ideal de Acapulco, on retrouve le guitariste Nicolas Repac (Arthur H), à la voix et à flûtes la cubaine Yaite Ramos, Acapulco résume la musique latine telle que l'européenne Carmen Miranda l'avait incarnée dans les années d'avant guerre, années d'insouciance et de désirs.
Mambo, cha-cha-cha, boléro, Acapulco embrasse et embrase tous les rythmes pour créer sa propre identité et redonner vie au paradis perdu tel que le fantasmait Dean Martin quand il se faisait latino. Si la sensualité est intacte, avec le projet Acapulco, on est loin d'une simple nostalgie, la musique se veut vivante et en pleine modernité. Indifféremment chanté en espagnol, anglais ou français, l'ambition première est de faire la fête, danser et sourire.
A écouter avec le EP MIRAGE, et à voir sur scène au Café de la Danse le 26 avril.
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